Aux cérémonies du 11 novembre, le président de la République Emmanuel Macron est apparu à bord d’un nouveau véhicule : une DS 7 Crossback hybride conçue sur mesure pour l’Elysée.
Les industriels européens dépendent à 95 % de la Chine pour leur approvisionnement en magnésium. En raison de la crise énergétique, la Chine a réduit fortement depuis septembre sa production de ce métal largement utilisé dans les alliages d’aluminium destinés à l’automobile.
Le site Stellantis de Sept Fons, à Dompierre-sur-Besbre (Allier), poursuit sa reconversion. Un investissement de 13 millions d’euros est annoncé pour accompagner la fin du diesel.
Le fabricant allemand de puces électroniques Infineon Technologies veut capter 30 % du marché des composants en carbure de silicium à l’horizon 2025. De quoi contester le leadership du franco-italien STMicroelectronics dans cette technologie clé de l’électrification de la voiture.
À la COP26, le thème de la voiture zéro émission rassemble peu. La France et les constructeurs français n’ont pas signé la déclaration qui est ressortie des travaux.
La crise des semi-conducteurs n’est même pas terminée que les acteurs de la filière automobile voient poindre d’autres pénuries. Les petits fournisseurs et les consommateurs risquent d’en payer le prix.
Avec un modèle éprouvé dans les smartphones, Foxconn veut banaliser la voiture électrique, en ouvrant le marché à tout le monde. De quoi provoquer le même séisme que dans les mobiles.
Dans la chronique Mobil’Idées, nous passons en revue ce qui fait bouger les transports. Cette semaine, nous nous penchons sur les tergiversations de la filière automobile française sur la voiture électrique.
Renault doit encore abaisser ses coûts afin de simplifier son organisation et de « préparer l’arrivée de la meilleure gamme de son histoire » entre 2023 et 2025, a déclaré mardi le directeur général du groupe au losange Luca de Meo.
Commentaires récents