Avec un modèle comparable à celui des smartphones, Foxconn veut faciliter la construction de voitures électriques pour la mettre à la portée de nouveaux entrants. De quoi provoquer potentiellement un immense séisme dans l’industrie automobile, à l’instar de ce qui est arrivé dans les mobiles.
Stellantis va développer un nouveau réseau de recharge pour les véhicules électriques en partenariat avec la start-up italienne TheF Charging.
Depuis plusieurs mois, Foxconn multiplie les partenariats dans l’automobile. Le groupe taïwanais spécialisé dans l’électronique rajoute désormais trois prototypes de véhicules à son offensive dans la voiture électrique.
Caillau, spécialiste français des colliers et fixations pour les moteurs, reprend la société AdiWatt, qui intègre des fixations pour les panneaux solaires.
Toyota a annoncé lundi 18 octobre son intention d’investir, via sa filiale nord-américaine, environ 3,4 milliards de dollars (2,9 milliards d’euros) d’ici 2030 dans le développement et la production de batteries pour véhicules automobiles aux Etats-Unis.
En pleine introduction en Bourse, le fabricant français de batteries Forsee Power a noué un partenariat industriel dans l’hydrogène avec l’entreprise canadienne Ballard.
Les premières formations ont démarré pour 120 des 700 futurs nouveaux salariés de Renault ElectriCity, le pôle que le constructeur automobile français va créer au 1er janvier 2022 dans les Hauts-de-France. D’autres suivront dans les semaines qui viennent, pour des recrutements prévus au premier trimestre 2022.
Le pétrochimiste britannique Ineos veut investir deux milliards d’euros dans la production d’hydrogène vert. Au cours des dix prochaines années, l’entreprise prévoit de construire des usines d’électrolyse en Norvège et en Allemagne, mais réserverait aussi plusieurs investissements à la France.
Désireux d’atteindre plus de 40% de véhicules électrifiés dans ses ventes aux Etats-Unis à l’horizon 2030, Stellantis fonde une coentreprise avec le sud-coréen LG afin de bâtir une usine de batteries en Amérique du Nord. L’ouverture est prévue début 2024, pour une capacité de production annuelle de 40 GWh.
Six mois après avoir annoncé son partenariat avec l’aciériste suédois SSAB, le fabricant de camions Volvo Group a présenté ce qu’il certifie comme étant le premier véhicule au monde réalisé à partir d’acier décarboné.
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