Le pétrochimiste britannique Ineos veut investir deux milliards d’euros dans la production d’hydrogène vert. Au cours des dix prochaines années, l’entreprise prévoit de construire des usines d’électrolyse en Norvège et en Allemagne, mais réserverait aussi plusieurs investissements à la France.
Six mois après avoir annoncé son partenariat avec l’aciériste suédois SSAB, le fabricant de camions Volvo Group a présenté ce qu’il certifie comme étant le premier véhicule au monde réalisé à partir d’acier décarboné.
La coentreprise entre Renault et Plug Power, Hyvia, a présenté son premier prototype de véhicule à hydrogène : un van fabriqué en France.
972 723 voitures neuves particulières ont été vendues en Europe et au Royaume-Uni au cours du mois de septembre 2021, soit 25,2% de moins qu’en septembre 2020. Seul Hyundai parvient à tirer son épingle du jeu.
Le fondeur taïwanais de puces TSMC confirme le projet de création d’une usine au Japon. Elle sera dédiée aux technologies matures, comme celles réclamées par l’automobile. L’ouverture d’une usine similaire en Allemagne reste toujours à l’étude.
Rachetée en avril 2021 par Prony resources, l’ancienne usine du brésilien Vale, adossée au gisement de Goro en Nouvelle-Calédonie, va approvisionner en nickel la chaîne d’approvisionnement de Tesla. Après plusieurs mois d’arrêt, le redressement de l’usine s’accélère.
Le Prince Charles a récemment confirmé que son Aston Martin avait été modifiée en 2008 pour pouvoir être alimentée par du vin blanc et du lactosérum, un résidu issu du processus de fabrication du fromage. Une façon étonnante de promouvoir l’usage des biocarburants.
Renault poursuit les négociations de son prochain accord social triennal. Lors d’une troisième rencontre avec les syndicats, le constructeur automobile a promis de redresser la production de ses usines françaises. Les réactions sont partagées côté salariés.
Un porte-parole de Renault a indiqué que le groupe quitterait d’ici l’été prochain le siège qu’il occupe depuis plus de 20 ans à Boulogne-Billancourt. L’entreprise envisage de s’installer dans un nouveau site, toujours dans son berceau des Hauts-de-Seine, afin de réduire ses coûts.
La concurrence de nouveaux acteurs comme Tesla sur le marché automobile allemand, amène Volkswagen à accélérer ses projets de transition vers l’électrique. Mais le groupe dément une information selon laquelle cette transformation pourrait entraîner 30 000 suppressions de postes.
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